Du donjon à la folie XVIIIe
Du donjon à la folie XVIIIe Fief des ducs d’Épernon, la façade classique de Beychevelle domine l’estuaire et contraste avec le donjon et les murs crénelés du château Lamarque, plus en amont. Pour célébrer son commerce avec l’Inde, le propriétaire du château Cos d’Estournel coiffe ses chais de pagodes « chinoisantes » et fait installer une porte ancienne venant de Zanzibar. Plus sage, Château Margaux, demeure raffinée et aristocratique, s’inspire de l’Antiquité. Sur la rive droite, le château du Bouilh est signé au XVIIIe par l’architecte du Grand Théâtre de Bordeaux, Victor Louis.